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 Aaron L. Wilson

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Aaron Wilson
Aaron Wilson
Je suis un(e) Langue-de-plomb

Poste : Modérateur aux ordres de Ezra !
Emploi/Maison : Ministère de la Magie

Rappeltout
Niveau Riddikulus: 2
Epouvantards vaincus : 0
Peur:
Aaron L. Wilson Vide
MessageSujet: Aaron L. Wilson   Aaron L. Wilson I_icon_minitimeVen 28 Juin - 17:01

Aaron  Louis  Wilson
feat. Ed Westwick




Histoire


Si on me demande de raconter mon histoire, ou bien si je dois l'écrire sur un parchemin,à l'encre noire, avec une belle et longue plume de hibou - celle des écrivains du passé-, bref un bidule bien soigné, ficelé, tiré au cordeau,  je crois ... Non ! Je suis sûr - ! -  que je la commencerai ainsi :
« Peureux soit celui qui me prendra en pitié en lisant mon histoire. Elle conseille les enfants et fait grandir les adultes. Je n'ai pas vécu dans la richesse ni la propreté. Je n'ai pas vécu avec un père présent et attentionné. J'ai eu de souhaitable pour un enfant l'amour de ma mère. Cela a suffi pour me, nous, rendre heureux. Alors, à ceux qui penseraient quelque chose comme « Pauv'gars, il a dû souffrir. » je réponds oui. Absolument. J'ai souffert. Cela a même été souvent douloureux. Mais voyons, regardez-moi, ne m'en suis-je pas merveilleusement sorti ? »
Ensuite, j'aborderai la ferme dans le Poitou de mes grands-parents où j'ai passé les premières années de mon existence - qui je l'espère est encore longue -. En tant que bambin, j'évoquerai le blé et l'orge parfumé à perte de - ma - vue, de l'immense grange rouge, des parthenaises traites des pis roses sous lesquelles je me faufilais en renversant le sceau semi-rempli pour me cacher d'un haut shetland noir et blanc - et donc de grand-mère qui râlait d'avoir perdu son litre de lait pour ne nourrir à présent plus que la chienne Fleur - que j'adorais m'a-t-on dit.
C'est à la suite de cet événement que j'envisagerai de parler de la relation qu'a toujours plus ou moins eu ma génitrice avec les siens. M'ayant enfanté au jeune age de dix-sept ans - pas encore majeur rendez-vous compte ! - les derniers ne fûmes pas en joie. Et après moult et moult querelles, elle m'a attrapé sous son bras, valises dans l'autre : Direction Londres. Elle m'a dit avoir essayé de joindre mon procréateur. Elle m'a dit aussi que cela n'avait pas été possible et que planté devant chez lui pendant deux jours, affrontant pluie froide et ciel lourd, elle dut se résoudre à partir. J'étais tombé malade, un rhume carabiné.

Débutera le second chapitre.
« En 2010 - importante date j'ai 9 ans -, je vois pour la première fois mon père. De la tête au pied, je ne pense pas lui ressembler - tant mieux -. On habitait non loin de Paris. Londres nous avait renvoyé en France, les sans-papiers reçoivent un coup au derrière. J'étais un gamin, j'avais besoin d'un bain. Maman aussi. C'est à ce mois de Novembre que mes plus précis souvenirs remontent. Les allées d'un parc du dixième étaient parfaites pour jongler avec mon unique bien matériel important, un ballon de football ramassé et nettoyé non-loin, alors que ma mère faisait tout son possible pour nous offrir de quoi manger et boire. On n'avait pas de quoi vivre, au moins on survivait.
Il est passé, nous étions enveloppés sous une couverture de notre tente improvisée à proximité d'un massif de buissons épais et protecteur d’Éole, en short, T-shirt et baskets. Tout en gris, comme le ciel, bas et menaçant. Il est passé, deuxième fois. A son troisième tour de piste, il s'arrête devant nous. Mère fait «genre » elle ne le connait pas. Il sentait la sueur autant que nous la crasse. Puis il vient à interpeller sa dulcinée disparue. « Je ne peux les oublier. » a-t-il dit.
Amande Daix porte à la perfection son prénom. A la première rencontre, dès que l'on croise, on ne peut qu'être captivé et ensorcelé par son regard à la forme du fruit. Elle lui a raconté que c'est en partie à cause/grâce à cet atout que son père s'en est épris. Et depuis ... « [Il] ne peu[t] les oublier. » »
On est allé chez lui. Nous n'avions pas d'autres choix. On a bien mangé, on s'est bien douché, nettoyé les doigts de pieds etc. Il habitait à l'époque dans un standing très grand avec plein de trucs en soie et cuir. Pas du tout mon truc. Un jour, alors qu'il était au travail. La jeune femme Daix choisit de fuir en empruntant son liquide dans son porte-feuille de riche. Il n'a pas dit pourquoi il était dans le coin.

Le second chapitre sera court, mais intense. Je pense insister sur l'état déplora qu'aujourd'hui je fuis plus que ma frayeur.
Pour ne pas être redondant, j'hésite encore à développer le troisième chapitre sur le retour en Poitou-Charente. Nous y sommes retourné, les parents, inquiets, nous ont protégé - de lui - et accueilli à bras ouvert, enfin sauf Pépé Louis qui avait le bras dans le plâtre. Il a été autoritaire avec moi, ses remontrances, fessés et regards noirs m'ont vraiment permis de devenir sage, courtois et bien éduqué. L'enseignement par la peur. C'est instructif. Disons qu'il a prit la responsabilité de Lucas - mon père -. Et soyons humble, il a fait des somptuosités. Grand-Ma a émoussé le jeune homme que j'allais devenir. Elle m'a mit une rose dans la main et fait porter des chemises dans un costume trop large. Ses confitures avalées sous un figuier sont un très bon souvenir. En revanche, c'est à cette époque que j'ai commencé l'équitation. Monter à cheval est une distraction très appréciée de ma mère. Galoper dans le vent, franchir un cap ... - On peut déjà penser à mon excitation lorsque j'enfourche un balai et que je décolle -
Mai, l'année suivante. Lucas Wilson parvient à s'expliquer avec Amande Daix sous le regard éloigné et désapprobateur de Louis Daix, quatrième du nom, et Isabelle Daix, sa femme née Petitpois. Ce sont Julie et Elie Daix, sœurs cadette de Amande, qui ont pris soin de moi, passé dix ans et toujours habille à la balle, alors qu'ils se prenaient dans les bras, réconciliés. Le mois suivant, nous étions de retour à Londres, chez l'autre.

Une chose est certaine, la découverte de la magie - un véritable choc - et de l'école pour sorcier - une lettre, mon père est un sorcier  ! - est un point fort que je mettrai dans le quatrième chapitre - de mon actuellement courte histoire de vie -.
« Lorsque j'ai reçu ma baguette, bien que je n'étais pas encore habité à ce nouveau monde qui n'attendait que moi pour l'explorer, j'ai senti au fin fond de mon corps , à droite de la machine à battements, très précisément situé, un sentiment de délivrance. Je savais que la magie m'était offerte, que je devais l'employer pour faire avancer les choses, grandes et petites. Mais surtout... j'allais offrir encore plus de bonheur à ma douce mère.
Ollivander a été d'une gentillesse, d'une patience ! Très peu de baguettes appréciaient assez ma compagnie pour satisfaire l'habille des mains - et ne pas faire valdinguer les boites -. J'avais commencé à croire que la lettre de Poudlard ne m'était plus si destinée - nominative pourtant -. Sur le point d'abandonner, j'ai laissé une dernière chance. Il fit un bon choix, ce vieux monsieur.
Quelle béatitude m'a inondé ! Quelle impression d'avoir enfin trouvé sa partenaire. Avec elle la route allait être longue et, je ne le savais pas, passionnante ! »
Ma baguette :Prunellier au cœur en plume de phénix ; vingt-six centimètres deux de rigidité. Ouep, 'sieur 'dame ! Elle n'a rien de véritablement exceptionnelle : sans forme étrange ou de garde, ni même de boursouflure sur la tige. Mon amie est creusée dans le sens du bois à la manière d'un arbre qui s'étire comme une main, pour attraper quelque chose. Je l'aime vraiment.

En guise de suite tout à fait logique, mes années à Poudlard seront à l'honneur dans le cinquième chapitre, voire si c'est assez dense, dans le sixième.
J'y ajouterai mes cours, mes professeurs, mes trouvailles et déceptions, ainsi que les impressions que cela fait d'être un élève en magie de l'école la plus célèbre dit-on des continents magiques. Je collerai en annexe des photos - magiques, celles qui bougent et tout -, mes badges remportés, peut-être même les bulletins et les recettes des plus formidables cours de potions. Je n'ai pas encore décidé.
Pendant les vacances scolaires, je rentrais à Londres, j'aidais ma mère à préparer son future professionnel et mon père à faire et défaire ses valises. Les voyages n'en finissaient guère. Louis Wilson m'a officiellement adopté un peu avant que je n'entre en 2012 à Poudlard. Deux ans après, c'est la crise. Il met, ou remet, le couvert avec une blondasse. C'est la séparation. Je porte le nom de l'infidèle coureur de jupon. Bois de Boulogne en souvenir.
En 2014 donc, ma mère déprime sec, va en cure de désintoxication pour son alcoolisme pendant que je passe les vacances, malgré-moi et faute de mieux, chez mon père qui a déménagé assez vite. Je passe l'été à faire des bêtises, à sortir pour fuir cette maison où j'apprends que ... la pouffiasse est enceinte d'un petit garçon. Jack est née lorsque j'avais déjà repris ma quatrième année. J'ai donc presque quatorze ans d'écart avec lui. Hum, ça fait pas mal n'est-ce pas ?
On avance.
Deux nouvelles années plus tard, les vacances sont chez les grandp' en Charente-Maritime. On règle des affaires pour que ma mère puisse à la rentrée ouvrir une nouvelle boutique : une galerie d'art où elle expose ses œuvres mais également celle d'artistes plus indépendant, inconnu ou grand public. Un truc bien mené pour qu'elle puisse vivre de sa passion des toiles peintes. Puisque celle année-là, le plus ancien part en retraite, il est plus doux et est satisfait du résultat. J'ai seize ans en juillet, de la barbe qui pousse et une posture qui en jette. Tout le monde sait que je vais très vite être diplômé et entrer au ministère de la magie. Enfin ... sauf Eux. On ne dévoile pas la magie aux Moldus.

« Alors que je m'apprête à rentrer au ministère de la magie, mon demi-frangin rentre à Poudlard, ma mère se fait une réputation et des amis qui me sont chers trouvent un job. Tout va pour le mieux. » Non, les malheurs ne viennent pas de suite, cependant, je trouverai ce début tellement accrocheur. Tellement ... On voudrait surement lire la suite. Et elle vient, oui elle vient !
Huitième chapitre.
Durant mes études à Poudlard, j'ai grandi, appris en surdose et à la fin ... j'ai changé. Ma mère me reconnait, même si quelque chose la gène. Elle ne peut pas décider entre mes phrases étranges, mon ton implacablement serein ou mes projets ambitieux. « C'est un tout je crois » conclue-t-elle pour éviter la sélection drastique. Dures options draconiennes pour elle qui perçoit toujours l'enfant sautant sur les rochers de la rivière, en contre-bas de la prairie où paissaient les moutons

Mon travail au ministère ne sera dans aucun chapitre. Pas le neuvième, pas le dixième, aucun !
Je suis devenu Langue-de-Plomb. C'est un nom clair, nous ne devons pas divulguer ce que nous faisons dans les catacombes du centre majeur de l'activité magique, au tout dernier étage, département des mystères. Pour ne pas couper l'herbe sous le pied des lecteurs, je pense que je mettrai quelques anecdotes drôle et raffinée. J'ai fait des rencontres exceptionnelles. J'ai commencé des projets faramineux. Un grand nombre n'ont pas abouti, mais je persévère dans mon travail. Je suis payé pour cela d'une part. De l'autre il me semble évident qu'avec un but précis, il est hors de question de jeter l'éponge. Ce serait une calamité.
En tout cas, j'ai eu l'immense surprise de voir Erza Fitzgerald. Il a deux ans de moins que moi, nous avons passé quelques années communes à Poudlard. Il proposait des meetings que pouvait parfois écouter Aaron, même s'il avait sans doute plusieurs autres soucis à régler et des choses à étudier. Certes, l'investissement politique m'a intéressé, même si je n'ai commencé qu'en sortant de l'école de magie.  Il est très différent de moi. Sapé comme un sac au travail, il n'en reste pas moins très intelligent. J'ai rapidement suivi ses idées d'unifier les deux univers bien que je restais beaucoup plus en retrait. Nous avons collaboré quelques temps. Mais d'autres sujets d'importance m'appelait et nous avons rapidement pris nos routes respectives.

Pour conclure sur l'histoire si je dois l'écrire, j'écrirai une note : « Je n'ai que vingt-huit ans, de grandes choses sont encore à faire et bientôt, je serai en mesure de vous les écrire. Tout ceci n'est en fait qu'un prélude à l'aventure. »
Ϟ Date de naissance : 3 Juillet 2001
Ϟ Nationalité : Fr - En
Ϟ Statut de sang : Sang-Mêlé
Ϟ Profession : Langue-de-Plomb, Ministère de la Magie
Ϟ Baguette : Prunellier. Plume de phénix. 26,2 cm. Rigide.
Ϟ Particularité : Charmeur
Physique & Caractère


Ϟ Age : 26 ans
Ϟ Corpulence : Acceptable
Ϟ Couleur des yeux : Marron
Ϟ Couleur des cheveux : Brun (clair)
Ϟ Signe distinctif : Sourcil gauche plus haut
Tout l'effet physique et psychologique de Aaaron se résume à deux choses : son regard et sa posture. Le reste est un complément - non négligeable - d'un être spécial.
Ses sourcils noirs à fourrure maîtrisées soutiennent un regard profond et séducteur. Dès qu'il pose ses yeux sur vous, Aaron met tout en oeuvre pour que vous soyez sous son charme. Ravageur il en est.
Il porte la barbe. Elle n'est rasée à blanc que lors d'occasions exceptionnelles. Ses poils lui donnent un aspect particulièrement mature et sérieux : lorsqu'il parle depuis ses lèvres d'amour, sa voix rauque  mais suave, pèse chaque mot. Il ne dira jamais rien s'en y avoir réfléchir avant. C'est grâce à son pouvoir des mots qu'il a obtenu certaines responsabilités.

Il est très cultivé et ses connaissances ne se limitent pas à la recherche scientifique. Très peu adepte des ragots, il sait les utiliser à son avantage. Il a un objectif clair et il y met toute son énergie et ses compétences. Sortir, flâner et laisser le temps s'écouler ne lui conviennent.
Aaron est un joueur d'échec chevronné et se définit comme une pièce maîtresse. Il est loin d'être un pion, qui n'a aucune originalité et qui suis le mouvement en ligne droite. En utliisant ses relations, il parvient à prendre la place du fou, se faufilant entre toutes ces personnes jusqu'à devenir un tueur de roi.

Son visage en rocaille ne présente pas de symétrie harmonieuse. Il a des oreilles rondes aux lobes fixes dont l'une est plus haute. Il a aussi un coin de sa mâchoire carrée comme une vulgaire bosse, ainsi qu'une petite déformation sur son nez droit. Ce sont de petits détails qui font de Aaron Louis Wilson un homme hors des critères de beauté, des canons de mannequins ridicules anorexiques et hypocondriaques.
D'ailleurs, il est très loin d'être maigre. Ses épaules sont carrées, ses hanches sont larges et il a bien du mal à enfiler des jeans trop serrés à cause de ses énormes mollets. C'est un sportif le Aaron faut pas croire ! Dans sa jeunesse il a apprécié la natation, beaucoup de course. Cela met en forme, et bien en forme !
Mais avec son travail au ministère, l'enfant Wilson a pris un peu de kilos. Du haut de son mètre soixante-seize et de ses soixante-dix kilogrammes passés, le sorcier s'en sort avec juste quelques poignées d'amour à croquer.

Les liaisons qu'il peut avoir sont toute sans exception monogame. Jamais il n'a trompée une femme et son éducation l'en empêche. Même sa vie est née d'une tromperie et c'est donc tout sincèrement qu'il appartient à sa compagne.
Néanmoins, il ne s'engage peut-être pas aussi profondément qu'il le devrait. Sa réticence à créer un lien fort est sans doute l'unique frein à son futur amoureux. Son premier et éternelle flamme restera sa mère - classique, mais efficace -.

Pour son âge, vingt-six piges, le gars ne se sape pas correctement. Il est toujours vêtu pour un trentenaire, ce qui le vieillit. Souvent en costume, de ceux que l'on achète bien cher dans les boutiques bien nobles et tout le tremblement, l'As aborde une conversation avec cravate, boutons de manchette. Il ne va mettre un jean que pour les rencontres privées et décontractées.
Lors de rendez-vous, il sort le noeud pap'. Ses cheveux bouclés sont généralement courts. Il passe très souvent chez le coiffeur, il peut se le permettre deux-trois fois par mois. Ce dernier lui offre la possibilité d'avoir la classe quelque soit la forme qu'il choisit. Plus souvent modifiée lorsqu'il ajoute une touche de gel.

Joli et doux, Aaron est fou de Nash. C'est un Tervueren de grande taille et très affectueux. N'ayant pas beaucoup d'attaches, la bestiole reçoit beaucoup d'embrassades. Il est moins tactile avec sa mère. Il ne touche jamais son demi-frère, qu'il apprécie vraiment tout de même. Quant à son père, les dialogues sont toujours très formels et Aaron ne le laissera surement pas s'approcher plus de lui.
Le dernier membre de la famille auquel il est proche, outre ses grands-parents en France, est son oncle, Wayne Wilson. C'est un homme influent et ont tous les deux un sens prononcé de la justice, même si le jeune Wilson pourrait agir avec vengeance et horreur.

Notes aux examens

Notes aux BUSEs
Astronomie : P
Botanique : E
DCFM : A
Histoire de la Magie : A
Métamorphose : A
Potions : O
Sortilèges : A
Option Etude des Moldus : O
Option Soin aux Créatures Magiques : E
Notes aux ASPICs

Botanique : O
DCFM : A

Métamorphose : A
Potions : O
Sortilèges : E
Option Etudes des Moldus : O
Option Soin aux Créatures Magiques : O

Votre plus grande peur


« La privation de Liberté » 

Aaron Louis Wilson a peur des chaînes, il a peur du sang et il a peur de son reflet machiavélique. Ne plus être libre de ses mouvements, de vivre en ayant perdu son sang, d'agir comme on l'entend... Aaron a peur. Il est effrayé de ne plus être lui, d'agir en suivant sa tête.
Les chaînes lumineuses ensanglantées sont une horreur. En plus de la case prison, il ne veut pas passer passer sur le fil rouge de la mort avant d'avoir réalisé son ultime rêve. Heureusement, lorsqu'il se sent au plus bas, le sorcier a toujours quelque chose qui lui remonte le moral, sans lui la faire. Une leçon de vie.
Derrière l'écran

Ϟ Pseudo : Max-chou
Ϟ Age : 20 années
Ϟ Niveau RP ? Très bon
Ϟ Comment as-tu connu le forum ? Demander à eRza :3
(c) CREDIT fiche - Never-Utopia & Daph & Loun-Ao
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Aaron L. Wilson

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